J’ai été prise en charge par Maître Claire GENESTIER et son équipe d’une façon très humaine et professionnelle.
Le cabinet est à la hauteur de sa réputation. Mon dossier a été pris au sérieux et j’ai été écoutée et accompagnée.
Je recommande les yeux fermés ce cabinet.
Un grand merci à vous et votre équipe.
Ainsi que nous l’avons vu, les conséquences financières de la séparation en cas de concubinage doivent être gérées de manière amiable ou contentieuse par les concubins.
Le principe est le suivant : la séparation de concubinage n’a aucune incidence sur les droits et les devoirs parentaux. La filiation maternelle est attestée dès lors que le nom de la mère figure sur l’acte de naissance de l’enfant. La filiation paternelle, quant à elle, découle de la reconnaissance par le père de son enfant, soit par anticipation, durant la grossesse, soit après la naissance.
Les concubins doivent donc tous deux continuer à s’occuper sur le plan financier et matériel de leurs enfants. La garde de l’enfant est en principe décidée de manière amiable. Ainsi, il est possible que l’enfant réside en garde alternée ou exclusivement chez l’un des deux parents. Votre avocat vous conseillera et rédigera une convention parentale qu’il soumettra à l’homologation du Juge aux Affaires Familiales. Comme dans le cas d’un divorce ou d’une rupture de PACS, il peut arriver que les concubins peinent à trouver un accord amiable concernant les enfants, leur lieu de résidence, le versement d’une pension alimentaire. Dans ce cas, c’est au Juge des Affaires Familiales qu’il reviendra de trancher, ce qu’il fera en prenant en compte principalement l’intérêt des enfants. Les concubins qui vivent une séparation conflictuelle pourront se faire assister d’un avocat durant cette procédure.
Dans un tel cas votre avocat sera présent à vos côtés, vous conseillera au mieux de vos intérêts, rédigera la requête qui permettra de saisir le juge, montera le dossier et vous défendra lors l’audience de plaidoirie.