J’ai été prise en charge par Maître Claire GENESTIER et son équipe d’une façon très humaine et professionnelle.
Le cabinet est à la hauteur de sa réputation. Mon dossier a été pris au sérieux et j’ai été écoutée et accompagnée.
Je recommande les yeux fermés ce cabinet.
Un grand merci à vous et votre équipe.
Dans le cadre d’un PACS, la filiation de la mère et de son enfant est naturellement reconnue. Il suffit que le nom de la mère apparaisse sur l’acte de naissance. A l’inverse, pour le père, la reconnaissance de filiation n’est pas automatique : dans le cadre du PACS, le père doit effectuer la démarche de reconnaissance en mairie, conformément à l’article 316 du Code civil, soit durant la grossesse, soit après la naissance. A cette condition, le père disposera, au même titre que la mère, de l’autorité parentale s’il reconnaît l’enfant avant l’âge d’un an.
La reconnaissance de la filiation introduit l’obligation alimentaire, à savoir que le père, s’il a reconnu l’enfant, est tenu d’assurer les besoins de son fils ou de sa fille né(e) dans le cadre du PACS. En cas de rupture de PACS, selon les revenus de chacun des parents et du mode de garde (classique ou alternée), une pension alimentaire pour l’enfant pourra être versée. Le Juge des Affaires Familiales auprès du Tribunal de Grande Instance est compétent pour homologuer l’accord intervenu ou arbitrer la situation en cas de désaccord entre les anciens partenaires du pacte civil de solidarité. Comme on le voit, s’il est facile de souscrire un PACS, sa rupture n’est pas aussi simple et il peut être judicieux de se faire assister d’un avocat, expert en rupture de PACS.